Iroko Zen : la nouvelle SCPI sans frais de souscription
La FinTech Iroko présente sa SCPI nouvelle génération, à la fois simple, accessible et engagée. Elle porte une stratégie résolument urbaine, diversifiée, en France et zone euro.
Iroko, la FinTech fondée en 2019 par Charles Duclert, Gautier Delabrousse-Mayoux, Olivier Van Den Broek et Louis Duclert, s’est donnée pour mission de proposer des produits d'épargne simples, performants et responsables. C’est dans cet esprit qu’elle présente aujourd’hui Iroko ZEN, une SCPI digitale et engagée, sans commission de souscription.
Accessible dès 5 000 €, directement en ligne, la SCPI investira en commerces, bureaux, parkings et entrepôts. Gage de confiance, les quatre fondateurs financent les premiers actifs avec leurs propres fonds, à hauteur de deux millions d’euros. « Il était naturel pour nous d’être les premiers épargnants d’Iroko et ainsi concrétiser notre promesse en présentant rapidement des actifs et un rendement à nos futurs épargnants », déclare Gautier Delabrousse-Mayoux, président d’Iroko.
L'équipe de gestion s'est engagée dans une gestion ambitieuse centrée sur les problématiques ESG de l'immobilier. Une fois l'objectif de distribution rempli, la SCPI réinvestira une quote-part de 20 % de sa performance dans l’amélioration de ses actifs, notamment au niveau énergétique. La SCPI postule d’ailleurs au label ISR.
La stratégie d’Iroko ZEN ? Investir à chacune des grandes étapes de la vie urbaine : entrepôts et commerces, actifs de bureaux, mais aussi, en fonction des opportunités du marché, résidences de services (Ehpad, résidences étudiantes, coliving etc.). La SCPI vise des actifs entre 1 et 3 millions d’euros de façon à diversifier rapidement son patrimoine. Trois actifs sont actuellement sous promesse : une crèche à Pantin, les murs d’un Pôle Emploi à Reims et un entrepôt à Bordeaux. La SCPI se positionne en priorité sur la France (Paris, Ile-de-France et grandes métropoles régionales), mais prévoit aussi une diversification en zone Euro, notamment en Allemagne, au Benelux, et dans le sud de l’Europe (Espagne, Italie, Portugal). Objectif : atteindre 100 millions d’euros d’encours d’ici trois ans.
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